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Berenice, a 25 ans. Elle est d'origine Londonienne. Elle travaille en tant que comportementaliste . Elle fait parti du groupe [àvoiraveclesfilles] . Elle est né(e) le 26 mai 1985 à Trois heures du matin . Elle est hétérosexuelle.

Le narcissisme n'est pas assez pour décrire Berenice. Allez comprendre pourquoi. Sa nature quoi ! Elle méprise souvent les gens, en même temps quand quelqu'un la trouve bizarre, c'est tout à fait normal je dirais ! Elle est hautaine, faut dire, rien de mieux qu'un peu de respect, mais son principale traits de caractère qui prime avant tout est surtout son désir de vengeance. Elle crie vengeance sur tout les toits, allez savoir pourquoi ! Malgré ses jolies défauts, demoiselle à du cœur. Hep, n'allez tout savoir sur jeune Berenice, le mystère prime !

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♪ C'est l'histoire de la vie, du cycle éternel ♪
♪ Qu'un enfant béni, rend immortel ♪

Je ne peux, je n'ai le droit. Ma vie n'est pas aussi parfaite que l'a votre. On me prends déjà pour quelqu'un de dingue, vous racontez mon histoire ne ferait qu'accentuer les choses. Et je ne veux pas ! Je ne suis pas folle ! Votre monde simple et paisible doivent vous suffire, vous n’avez pas à connaître l’horreur de chez votre voisin. Qui croirait qu'on pourrait avoir un père cannibale ? Une mère dont la famille date de plus de cinq siècles et qui procède a des rituels, si spéciale. Qui croirait que les sorcières existent ? Non pas de simple petit tour de magie pour vous faire du show, la vraie magie, celle qui est blanche ou noir et qui sert à détruire les méchants comme les bons ? Qui croirait sur terre que le mal, le vrai existe, celui qu'on surnomme Satan, qu'il est vraiment parmi nous à chaque moment, et qu'il essaye de nous faire vendre notre âme ? Qui le croirait sérieusement ? J'ose à peine a le croire. Qui voudrait une existence comme celle-ci, si spéciale.
Cacher, mentir, ne pas être honnête, ont doit le faire comme ça. Mais peut-importe, si je gagne, c'est la seule reconnaissance que je peux avoir.

« Armand,
Te rappelles tu ? De ce que je t’ai dit, la nuit dernière au milieu du parc ? De ce que je t’ai montré pour être sûre que tu me croyais ? De ce projet spéciale ? J’ai merdé, je ne sais pas comment, ni pourquoi, mais je sais que cela ne vient pas de moi. Cela vient de cet environnement. Armand, crois-moi, tu n’es pas en sécurité, là-bas, tu dois venir, me rejoindre. Peut importe ce que diras les gens. Ce n’est pas simple, tout ne rentreras dans l’ordre d’un claquement de doigt, cette fois-ci, c’est bien plus compliquer. Il faut venir, il le faut, je t’en prie, ne fais pas l’abrutie cette fois. J’ai réellement besoin de toi. J’ai besoin que tu m’apportes cette amour qu’on c’est promis toi et moi. Il le faut, maintenant, à cette heure même. Il me rend forte, confiante. Crois-moi, j’en ai besoin maintenant. Je n’oublierais jamais la première fois. Cette toute première fois où je t’ai rencontré, regardais dans les yeux et dit : « Bonjour, Armand. » D’une voix si troublante, je t’ai touché, tu ne peux plus, m'échappée à présent, tu es a moi, jusqu’au jour où l’on décide que ça ne vaut plus la peine, un jour qui n’arrivera jamais, j’en ai le pressentiment. Armand, crois-moi, je ne puis existé sans toi. J’ai perdu tout sentiment d’humanité, le jour où je suis née, c’est toi qui me l’a redonné. Tu sais tout de ma vie, de mon père, effrayant soit-il, de ma mère, fascinante devrait-elle être. De Londres, je suis partie, de ses crimes affreux j’ai échappé, Armand, s’il te plaît, ce n’est pas une âme en détresse qui te le demande juste, une simple femme qui t’aime. Une femme qui veut que tu l’as remarque pour son être, pas pour ce qu’elle possède. Tout ça n’a aucune valeur. Armand, prends peine à continuer cette lettre, au parc j’ai sûrement oublié des choses. Je suis un mélange de cette famille dont je n’ai jamais rêvée. Criminelle, troublante, manipulatrice, taquine, joueuse, narcissique, j’ai tout l’attirails de ce père, Satan. Puissante, forte, courageuse, déterminée, ce que ma mère m’a transmis. De sacrée traits de caractère, comme si je devais être une guerre perpétuellement. Armand, ne fais pas l’innocent, tout ça, tout le monde en est coupable. Armand, je t’en prie, ne joue pas au héros, je ne veux pas de ta pitié, juste de cet amour dont tu m’as tellement fais part ces derniers temps.
Je t’aime, Berenice. »